Trente-deux musulmans comparaissent depuis vendredi 14 mai après-midi dans une procédure de flagrance devant le Tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe. Ils ont été arrêtés la veille, après des échauffourées entre deux camps de cette religion qui se disputent le leadership.
Ils sont accusés notamment d'association de malfaiteurs, destruction méchante, rébellion, coups et blessures volontaires.