Les élèves impliqués dans l’affaire de sextape doivent être pris en charge sur le plan social et psychologique, afin de les recadrer. Le ministre des Droits humains, Fabrice Puela, a fait cette proposition mercredi 8 septembre à Kinshasa, au lendemain de l’exclusion de ces écoliers identifiés comme inscrits à l’école catholique Saint Georges de la commune de Kintambo.