Le mystère plane toujours sur les vrais auteurs de la répression sanglante présumée du 30 aout dernier dans la ville de Goma. A l’issue de l’audition de quelque 33 témoins et victimes constitués partie civile dans ce procès, ce vendredi 15 septembre, à la cour militaire du Nord-Kivu, aucun n’a confirmé avec exactitude les vrais responsables de la fusillade.
Tous affirment, cependant, avoir vu des militaires et policiers sur la scène des violences.