Plus de 3000 personnes sont mortes, en deux ans, à la suite des exactions de la milice Mobondo dans le territoire de Kwamouth (Mai-Ndombe) et dans la commune de Maluku (Kinshasa).
La Commission diocésaine Justice et paix (CDJP) de l’archidiocèse de Kinshasa a livré ces chiffres dans son rapport publié, jeudi 23 janvier, à Kinshasa.
Cette structure de l'église catholique a également révélé que 550 400 personnes ont été déplacées au cours de cette même période dans cette partie du pays.