La prise en charge des survivants de violences sexuelles et des personnes vivant avec le VIH risque d’être compliquée dans un avenir proche, à la suite de l’arrêt du financement de l’agence Américaine pour le développement international (USAID). Cela favoriserait la propagation et la hausse du taux de prévalence du VIH au Nord-Kivu, a redoutée samedi 5 juillet le coordonnateur provincial du Programme national multisectoriel de lutte contre le Sida (PNMLS), Aubin Mongili.