Les activités socio-économiques ont tourné au ralenti, lundi 4 septembre, à Goma (Nord-Kivu), après que des mouvements citoyens ont appelé à une journée ville-morte.
A travers leur initiative, ces organisations pro-démocratie ont voulu dénoncer la répression sanglante des FARDC, mercredi dernier, contre des adeptes Wazalendo.
Des sources sur place à Goma rapportent que la circulation était timide et des barricades observées sur certaines artères de cette ville.