La cheffe de la MONUSCO, Bintou Keita a précisé, mercredi 2 août, que « la sécurisation de tout candidat et de tout processus électoral revient en premier lieu à l’Etat (NDLR : congolais) ».
Il a fait cette précision lors de la conférence de presse des Nations unies, tenue à Kinshasa.