La société civile de la ville de Kikwit et celle de la ville de Bandundu ont décrié jeudi 20 octobre la situation sécuritaire déplorable de ces derniers temps dans l’espace grand Bandundu, relative à la crise Teke-Yaka qui s’étend au Kwilu, au Kwango. Elles demandent que la « main noire » à la base de cette crise soit identifiée.