Quatre titres mondiaux, 53 premières places, des records de précocité. Et pourtant, celui qui devait rendre de l’éclat à Ferrari entre 2015 et 2020 n’a cessé de régresser ces dernières saisons. Au point que le passage chez Aston Martin, cette année, avait des allures d’enterrement de première classe. Ses derniers résultats semblent indiquer que Sebastian Vettel a retrouvé son coup de volant magique.