Les attentats à l’aéroport de Kaboul ont confirmé les pires craintes des services de renseignement, qui ne cessent d’alerter sur l’activité croissante de groupes terroristes et le caractère éclaté de la galaxie du mouvement taliban. Pour Washington, l’heure est venue de quitter définitivement Kaboul. Problème: il reste encore plus de 1.000 ressortissants américains coincés dans le pays.